portal informasi 2022

Critique Les Choses Qu’On Dit, Les Choses Qu’On Fait : Le Temps De L’Amour

Critique Les Choses Qu’On Dit, Les Choses Qu’On Fait : Le Temps De L’Amour
Critique Les Choses Qu’On Dit, Les Choses Qu’On Fait : Le Temps De L’Amour

Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait poursuit avec brio 50’exploration du dialogue amoureux entamé avec Mademoiselle de Joncquières où Emmanuel Mouret synthétise toute 50’substance de son cinéma dans un geste magnifique.





Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait est le dixième film de 50’acteur, réalisateur et scénariste Emmanuel Mouret. Ce dernier sera parvenu à créer une filmographie centrée sur les sentiments, imprégnée d’une cinéphilie convoquant aussi bien Rohmer que Truffaut. A partir de 2006, Emmanuel Mouret incarne un personnage anachronique d’amoureux maladroit, assumant alors avec brio 50’héritage d’Antoine Doisnel. due south’étant concentré uniquement sur la réalisation depuis Caprice, en 2015, le réalisateur avait alors débuté une exploration summation dramatique et addition lyrique des sentiments, quête poursuivie par le magnifique Mademoiselle de Joncquières.





Critique Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait : Des gens qui s'aiment
© Moby Dick Films, Pyramide Distribution




Le temps de fifty’amour





Le dixième long-métrage d’Emmanuel Mouret porte ainsi les stigmates de boy œuvre précédente tant le metteur en scène rythme boy celluloid d’un dialogue qui ne prendra fin que lors de ses dernières déchirantes minutes. Resserré sur un quatuor de personnages, Mouret y filme un échange amoureux intime qui déshabille avec sensibilité chaque personnage. Filmés au summation près des regards, Camélia Jordana, Niels Schneider, Vincent Macaigne et Emilie Dequenne livrent ainsi des prestations bouleversantes de justesse et de sensibilité, à 50’icon d’un cinema dont le lyrisme épouse une démarche jusqu’au boutiste d’une exploration intime de fifty’amour.





Des histoires qui construisent ses personnages et qui lorsque ces derniers s’en libèrent, les déshabillent, Emmanuel Mouret en fait un geste malicieux en faisant de chacun de ses protagonistes une pièce incontournable de ce yard puzzle qu’est le celluloid. Si aucune des destinées ne laissera ses personnages indemnes, le réalisateur étend avec brio son observation sur summation de deux heures et ce, sans aucun temps mort, prenant perpétuellement ses personnages à leur propre piège dans ce jeu savage qu’est fifty’amour.





Critique Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait : Des gens qui s'aiment
© Moby Dick Films, Pyramide Distribution




La temporalité est au cœur du celluloid d’Emmanuel Mouret qui prend intelligemment le temps de dépeindre avec finesse des amours qui naissent et meurent pour nous guider vers une impasse sublime d’un cœur qui n’a jamais dit son dernier mot. Véritable fil conducteur du récit, le temps demeure ici comme un juge inéluctable qui aura raison des sentiments et des promesses et ce, malgré la beauté et l’intensité des désirs. La durée néanmoins suffisante pour Emmanuel Mouret, de signer un G drame, sensible et bouleversant qui n’a pas fini de head chambouler. Chose dite, chose faite.





Les Choses qu’on dit les choses qu’on fait est sorti le 16 septembre.








Advertisement

Iklan Sidebar